Pourse payer la tĂȘte de ceux qui sont aux manettes â un Ă©vĂȘque Ă la vertu toute relative, un ministre de la Culture soumis aux cabinets de conseil et un homme dâaffaires, semblable Ă Vincent BollorĂ©, dont le surnom de PrĂ©sident traduit parfaitement les ambitions politiques â, la petite troupe va mettre au point un canular. A tous, le tandem fait croire quâil
A bientĂŽt 93 ans, et malgrĂ© une vie de discrĂ©tion, Germaine TillionapparaĂźt comme un-des derniers grands tĂ©moins du vingtiĂšme siĂšcle. NĂ©e en 1907, un an avant Claude LĂ©vi-Strauss, elle est avec lui une figure tutĂ©laire de l'ethnologie française, dont les travaux sur les BerbĂšres et la condition des femmes dans le bassin mĂ©diterranĂ©en font autoritĂ©. RĂ©sistante de la premiĂšre heure, dĂ©portĂ©e Ă RavensbrĂŒck, elle est une des pionniĂšres de l'histoire du systĂšme concentrationnaire auquel elle a consacrĂ© des annĂ©es de recherche. De retour en AlgĂ©rie pendant la guerre d'indĂ©pendance, elle a vĂ©cu en premiĂšre ligne l'effondrement du colonialisme, dĂ©nonçant aussi bien la torture contre les combattants algĂ©riens que les actes terroristes de ces derniers. D'une certaine maniĂšre, Germaine Tillion a toujours Ă©tĂ© doublement tĂ©moin d'abord par son mĂ©tier mĂȘme, qui, a-t-elle Ă©crit, est d'abord un dialogue avec une autre culture» puis une remise en question de soi et de l'autre» et, si possible, une confrontation qui dĂ©passe soi et l'autre». Par sa participation directe ensuite, et combien douloureuse, aux grandes Ă©preuves du siĂšcle, que ce soit en Allemagne nazie ou en AlgĂ©rie française. Ce double mouvement donne sa force et son unitĂ© Ă l'oeuvre  et aux combats  de Germaine Tillion, qui publie aujourd'hui Il Ă©tait une fois l'ethnographie, tandis que le dernier numĂ©ro d'Esprit lui rend en 1934, Ă vingt-sept ans, que Germaine Tillion s'embarque pour l'AlgĂ©rie. Sur les conseils de son directeur de thĂšse, Marcel Mauss, alors le maĂźtre de l'anthropologie française, elle a choisi comme terrain» l'ethnie berbĂšre des ChaouĂŻas, repliĂ©e dans le massif des AurĂšs, dont elle veut Ă©tudier l'organisation sociale. Au dĂ©part accompagnĂ©e d'une jeune collĂšgue du musĂ©e de l'Homme, Germaine Tillion se retrouve vite seule, affrontĂ©e Ă la solitude et au dĂ©paysement. L'ethnographie, Ă©crit-elle, n'Ă©tait pas encore devenue la carriĂšre encombrĂ©e qu'elle devint plus tard et l'on "entrait en ethnographie comme on entre en religion, avec de grands principes, du recueillement, et le goĂ»t des macĂ©rations.» Il Ă©tait une fois l'ethnographie raconte ainsi la succession des Ă©tapes initiatiques par lesquelles tout jeune ethnologue devait  et doit encore  passer la visite aux chefs, puis aux familles, l'apprentissage de la langue et des usages sociaux, l'art de la conversation et du questionnement, la collecte des rĂ©cits et des contes, toutes phases qui ne peuvent aboutir que si l'intrus est acceptĂ© dans sa communautĂ© d'adoption. Entre 1934 et 1940, Germaine Tillion effectue ainsi quatre missions dans le Sud 1939, elle y repart alors que l'Europe entre en guerre. Sa mission se termine en mai 1940 elle dĂ©barque en France pour entendre PĂ©tain demander l'armistice. Elle prend immĂ©diatement contact avec des compatriotes rĂ©voltĂ©s comme elle par la capitulation, au musĂ©e de l'Homme, mais aussi Ă travers une association d'anciens combattants dirigĂ©e par un colonel en retraite, Paul Hauet. DĂšs juillet, ces noyaux fonctionnent, qui vont peu Ă peu former ce que Germaine Tillion nommera elle-mĂȘme aprĂšs la guerre le rĂ©seau musĂ©e de l'Homme, une structure originale, explique l'historien Julien Blanc dans Esprit, oĂč plusieurs pĂŽles cohabitent, formant une galaxie complĂšte oĂč cloisonnement et indĂ©pendance sont la rĂšgle. ActivitĂ©s principales Ă©vasions de prisonniers, propagande antiallemande et renseignement. En fĂ©vrier 1941, ont lieu les premiĂšres arrestations Boris VildĂ©, Anatole Lewitzky et cinq autres rĂ©sistants seront fusillĂ©s en fĂ©vrier 1942. Entre-temps, Paul Hauet et le colonel de la RochĂšre ont aussi Ă©tĂ© neutralisĂ©s. Germaine Tillion se retrouve seule Ă la tĂȘte du rĂ©seau jusqu'Ă sa propre arrestation le 13 aoĂ»t 1942, sur dĂ©nonciation d'un traĂźtre. InternĂ©e Ă la santĂ©, puis Ă Fresnes oĂč sa mĂšre sera Ă son tour enfermĂ©e, interrogĂ©e par les militaires allemands, mise au secret, elle est dĂ©portĂ©e le 21 octobre 1943 pour RavensbrĂŒck, oĂč elle arrive dix jours plus tard. Elle y ressent aussitĂŽt ce qu'elle dĂ©crira comme l'haleine du camp» Tous ceux, hommes ou femmes, qui eurent le malheur de connaĂźtre un camp de concentration exprimĂšrent plus tard la perception immĂ©diate et brutale qui prĂ©cĂ©da pour eux la connaissance dĂ©taillĂ©e de ce qui les attendait quelque chose que l'on recevait en pleine gueule, aussi complĂštement Ă©vident que la "devinance de la mort qui fait hurler les bĂȘtes que l'on va tuer» 1.EpuisĂ©e, malade, dĂ©cidĂ©e Ă ne pas travailler, Germaine Tillion se cache d'un block Ă l'autre, dĂ©couvrant la rĂ©alitĂ© de cet enfer et arrivant mĂȘme Ă prendre des notes les diffĂ©rentes castes de dĂ©tenues, une sociĂ©tĂ© organisĂ©e par la terreur, les exĂ©cutions et les disparitions, les expĂ©riences de vivisection sur des Polonaises surnommĂ©es les lapins». Au dĂ©but de l'annĂ©e 1945, l'installation d'une chambre Ă gaz sommaire accĂ©lĂšre l'extermination et, le 2 mars, Emilie Tillion, qui a rejoint sa fille au camp, fait partie de la sĂ©lection». Selon sa compagne d'infortune Anise Postel-Vinay, qui tĂ©moigne dans Esprit, la douleur de Germaine fut atroce, silencieuse». Le 23 avril 1945, peu avant la chute du camp, Germaine Tillion est Ă©vacuĂ©e avec trois cents autres dĂ©tenues par la fois rĂ©tablie, dĂ©laissant ses travaux d'ethnologue, elle entreprend une enquĂȘte approfondie sur l'histoire de ces trois cents femmes, publiant ses recherches sur RavensbrĂŒck en trois fois, en 1946, 1972 et 1988. AppelĂ©e Ă tĂ©moigner Ă de nombreux procĂšs en Allemagne, fouillant les archives partout oĂč cela Ă©tait possible, interrogeant les tĂ©moins, la rescapĂ©e s'attache Ă comprendre ce monde sans commune mesure avec rien» mais oĂč, au contraire d'un Primo Levi pour qui nul, dans cet abĂźme, n'Ă©chappait Ă la gangrĂšne», elle a toujours voulu considĂ©rer que les monstres sont des hommes», bien souvent mĂȘme des gens ordinaires». Travail de mĂ©moire difficile, tant, Ă©crit-elle dans RavensbrĂŒck, dans cet univers d'incertitude et de tĂ©nĂšbres, aussi irrĂ©ellement atroce qu'un cauchemar, les points de repĂšre, dans l'espace et le temps, manquaient c'est au pĂ©ril de leur vie que certains ont notĂ© une date, conservĂ© une montre, consultĂ© une carte, mais ces rares prĂ©cisions ne pouvaient qu'ĂȘtre isolĂ©es au milieu de la terra incognita qui s'est abĂźmĂ©e dans la nuit. Quand le dernier camp de concentration allemand a ouvert ses portes, cet "autre monde a cessĂ© de dĂ©couper sa masse dans l'espace rĂ©el pour se profiler parmi les fantĂŽmes de la "dimension historique, mais il les rejoignait sans bagages, nu comme ses morts».En novembre 1954, Germaine Tillion reçoit un appel de Louis Massignon. Le savant, son autre directeur de thĂšse, lui demande de l'accompagner Ă un rendez-vous avec François Mitterrand, alors ministre de l'IntĂ©rieur dans le gouvernement MendĂšs France. Il veut que son ancienne Ă©lĂšve soit envoyĂ©e en AlgĂ©rie pour une mission d'Ă©tude. François Mitterrand accepte et Germaine Tillion refait sa valise. Je considĂ©rais les obligations de ma profession d'ethnologue, Ă©crit-elle, comme comparables Ă celles des avocats, avec la diffĂ©rence qu'elle me contraignait Ă dĂ©fendre une population au lieu d'une personne.» M'enquĂ©rir du sort des populations les plus dĂ©munies d'AlgĂ©rie en vue de les protĂ©ger, ajoute-t-elle, cela me convenait puisque je les connaissais bien et de longue date.» C'est Ă Batna qu'elle entend parler pour la premiĂšre fois du massacre de SĂ©tif, dĂ©clenchĂ© neuf ans plus tĂŽt, ironie de l'histoire, le jour mĂȘme de la capitulation nazie, le 8 mai 1945. Germaine Tillion va sillonner l'AlgĂ©rie pendant plusieurs semaines et rĂ©diger un rapport, notamment sur la clochardisation» de rĂ©gions entiĂšres, sans Ă©coles, sans emplois et Ă la dĂ©mographie galopante. A la lecture de ce rapport, Jacques Soustelle, nouveau gouverneur de l'AlgĂ©rie nommĂ© par MendĂšs France, lui demande de rejoindre son cabinet. Elle accepte d'autant plus que Jacques Soustelle est ethnologue spĂ©cialiste du Mexique et ancien rĂ©sistant. Pendant l'annĂ©e 1955, et tandis que Camus et Ferhat Abbas plaident encore ensemble la trĂȘve civile», elle va crĂ©er et structurer les Centres sociaux», organismes pour la scolarisation des familles rurales maghrĂ©bines, et elle rallie Ă cette cause nombre d'intellectuels algĂ©riens comme Mouloud Feraoun qui sera assassinĂ© par l'OAS en 1962 ou français, de Camus, RoblĂšs et SĂ©nac Ă Guilloux, Cayrol et Leiris. Mais la guerre s'Ă©tend comme un feu de paille et l'expĂ©rience Soustelle s'arrĂȘte en mĂȘme temps que le gouvernement MendĂšs Ă Paris, et tandis que son appartement de Saint-MandĂ©  oĂč elle vit toujours, Ă l'orĂ©e du bois de Vincennes  devient le rendez-vous de tous les militants de la paix en AlgĂ©rie, Germaine Tillion multiplie les appels contre la torture et repart en AlgĂ©rie en 1957 dans le cadre d'une trĂšs officielle Commission d'enquĂȘte internationale sur les prisons françaises. Elle publie l'AlgĂ©rie en 1957 aux trĂšs engagĂ©es Ă©ditions de Minuit 2, dans lequel pourtant, pas encore convaincue de l'inĂ©luctabilitĂ© de l'indĂ©pendance, elle veut encore lier le destin de la France et de l'AlgĂ©rie. Camus prĂ©facera ainsi l'annĂ©e suivante l'Ă©dition amĂ©ricaine Je n'ai jamais pu lire un livre concernant la tragĂ©die algĂ©rienne sans Ă©prouver un sentiment d'irrĂ©alitĂ©, d'inconfort et souvent mĂȘme de colĂšre. Un livre seul  celui de Germaine Tillion  m'a semblĂ© dĂšs le premier abord vrai, juste et constructif. Germaine Tillion sait de quoi elle parle. Et personne Ă l'avenir, pas plus en AlgĂ©rie qu'Ă travers le monde, ne saurait parler du problĂšme algĂ©rien sans avoir lu ce que cette femme cultivĂ©e et comprĂ©hensive a Ă©crit sur ma misĂ©rable terre natale, si mal comprise, qu'un espoir dĂ©chirant meut aujourd'hui.» Pierre Vidal-Naquet, de son cĂŽtĂ©, rappelle dans Esprit quel immense respect» inspirait alors Germaine Tillion Ce n'Ă©tait pas seulement le respect que ma gĂ©nĂ©ration devait Ă ceux et celles qui avaient participĂ© Ă la rĂ©sistance et subi la dĂ©portation, c'Ă©tait dĂ» Ă une sorte de nettetĂ© dans le regard et le comportement, Ă un courage qui expliquait que, prĂ©cisĂ©ment, elle n'avait jamais subi quoi que ce soit, toujours affrontĂ© l'ennemi comme l'ami avec un mĂ©lange unique de courage et d'humour.» Ce qui frappe le plus en Germaine Tillion, conclut Pierre Vidal-Naquet, c'est la passion de la justice» Dans cette terre ravagĂ©e, Germaine Tillion Ă©tait comme un marabout, un marabout Ă la fois rusĂ© et noble.»De fait, Germaine Tillion a toujours Ă©tĂ© une intellectuelle indĂ©pendante malgrĂ© la vigueur de ses engagements, elle n'a jamais Ă©tĂ© communiste pas plus qu'elle n'a Ă©tĂ© porteur de valise» pour le FLN. Au contraire, elle a Ă©tĂ© une des premiĂšres, avec David Rousset, Ă dĂ©noncer aprĂšs-guerre le goulag soviĂ©tique que Margarete Buber-Neumann, ex-communiste dĂ©portĂ©e en SibĂ©rie et rendue par Staline Ă Hitler avec d'autres juifs allemands, lui avait longuement dĂ©crit Ă RavensbrĂŒck. De mĂȘme, elle a gardĂ© une fibre gaulliste, acceptant mĂȘme un poste en 1959 dans le cabinet d'AndrĂ© Boulloche, ministre de l'Education nationale du GĂ©nĂ©ral, oĂč elle obtiendra notamment que les dĂ©tenus puissent passer des diplĂŽmes en prison. Un autre combat important de Germaine Tillion, devenue professeur Ă l'Ecole des hautes Ă©tudes, concerne la condition fĂ©minine. Ses travaux d'ethnologue au Maghreb l'amĂšnent Ă s'interroger sur l'oppression de la femme dans le bassin mĂ©diterranĂ©en en 1966, son livre le Harem et les cousins fait date 3. Selon elle, ce n'est pas seulement l'islam qui est cause de cette aliĂ©nation, mais l'ensemble des cultures mĂ©diterranĂ©ennes, et de citer aussi bien la Bible que la tragĂ©die grecque. La rĂ©volution agricole du nĂ©olithique a poussĂ© Ă l'endogamie, le champ et le troupeau assurant l'avenir et n'obligeant plus Ă l'alliance exogamique place donc Ă la prohibition de l'Ă©change, le retour Ă l'inceste, la polygamie, la guerre, le "racisme ", l'esclavage, et une vĂ©ritable obsession de la virginitĂ© fĂ©minine que l'on retrouve dans la plupart des sociĂ©tĂ©s de l'Ancien Monde et seulement-là ». Reprenant ces thĂšses Ă la fin d'Il Ă©tait une fois l'ethnographie, Germaine Tillion estime que ce modĂšle de sociĂ©tĂ©  qui selon elle, est toujours le nĂŽtre  est en train de prendre un sacrĂ© coup de vieux», car de nouveau la relation de l'homme avec son espace est en train de basculer, et la sacro-sainte croissance nĂ©olithique rencontre partout ses limites. Inventer autre chose, tel va ĂȘtre l'impĂ©ratif du millĂ©naire qui vient». Infatigable vieille dame.1 In RavensbrĂŒck, disponible en poche Points-Histoire n° 236.2 Ce texte a Ă©tĂ© rééditĂ© en mai 1999 sous le titre L'Afrique bascule vers l'avenir, par les Ă©ditions TirĂ©sias/Michel Reynaud 125 pp., 80 F, augmentĂ© d'une longue prĂ©face inĂ©dite de Germaine Tillion, dont sont issues plusieurs informations de cet article. Le mĂȘme Ă©diteur annonce pour cette annĂ©e un autre ouvrage de Germaine Tillion, Deux terrorismes face Ă face.3 En poche Points-Essais n° 141.
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Ode aux Cabinets ! MalgrĂ© l'humour et la vertu Il faut ici, montrer son cul. MalgrĂ© la haine et la fiertĂ© Il faut ici, se dĂ©froquer. MalgrĂ© l'amour et la tendresse Il faut ici, montrer ses fesses. Poussez ! les constipĂ©s Le temps ici, n'est pas comptĂ©. Venez ! foules empressĂ©es Soulagez lĂ , votre diarrhĂ©e. Car en ces lieux souvent chĂ©ris MĂȘme le papier y est fourni. Qu'on y pĂšte ou qu'on y rote Tout est permis au sein des chiottes. Graine de vĂ©role ou de morpion N'oubliez pas de vous laver le fion. De ces WC tant usitĂ©s PrĂ©servez donc l'intĂ©gritĂ©. Lire la suite >
PoĂšmeaux W-C. PoĂšme aux W-C. PubliĂ© le 03/02/2009 Ă 12:00 par chezfox. MalgrĂ© l'humour et la vertu Il faut ici montrer son cul. MalgrĂ© la haine et la fiertĂ© Il faut ici se dĂ©froquer. MalgrĂ© l'amour et la tendresse Il faut ici montrer ses fesses. Poussez ! Poussez ! Les constipĂ©s Le temps ici n'est pas comptĂ©. Venez ! Venez ! Foules empressĂ©es, Soulager lĂ
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Le premier roman -perdu- de François Villon Le âRoman du Pet au diableâ un ouvrage Ă©crit probablement entre 1451 et 1453 Ă Paris et dont il ne nous reste que le titreâŠSa trace se perd avec lâĂ©nigme des tribulations urbaines et justiciables de son auteur François Villon, dont il sâagirait du premier texte. Dans son Grand Oeuvre le Testament,le poĂšte mentionne ce roman quâil lĂšgue a celui qui fut son pĂšre adoptif, le chanoine dont il hĂ©rita du nom maĂźtre Guillaume de Villon. Il y prĂ©cise que ce roman Ă©crit sous forme de âcahiersâ se trouve chez lui, sous une table. Depuis cette mention toute allusive, lâĆuvre se perd ou bien se tire, Ă la traĂźne de son auteur qui quitte le cocon universitaire oĂč il avait Ă©tĂ© reçu maĂźtre-Ăšs-arts pour sâacoquiner avec la bande des mauvais garçons qui Ă Paris se disputait la prestigieuse et plus occulte facultĂ© de cambriologie, hors-les-murs et⊠argotiĂšre. âPet au DiableââŠde quoi faire pĂąlir les noms ensorcelĂ©s quâon retrouve en sâĂ©garant un peu partout, Ă la ville ou la campagne, Ă la faveur des superstitions qui prĂȘtent aux lieux inquiĂ©tants la mainmise secrĂšte des dĂ©mons. Pont du diable, moulin du diable ou au diable vauvert les titres de propriĂ©tĂ© ne se comptent plus qui disent lâangoisse et la peur des riverains que le temps a fini par Ă©vanouir et que la toponymie, seule, recueille Ă lâinsu des dictionnaires et dresse, vivantes, au hasard dâun nom qui se survit dans le fatras des enseignes modernes de la grande ville qui a mangĂ© les parcelles de campagne. OĂč lâon devine encore, derriĂšre le dĂ©dale de la zone industrielle ou de la rĂ©sidence pavillonnaire, le puits maudit pendant des siĂšcles oĂč le diable engrossait les jeunes filles ou encore, le carrefour terrible oĂč le nuit venaient se retrouver sorciĂšres et tempestaires. Impasse SatanâŠactuellement dans le XXĂšme arrondissement Le âPet au Diableâ qui donne son titre Ă lâouvrage perdu du poĂšte renvoie au nom dâune grosse pierre sise Ă Paris au Moyen-Ăge, rue du Martroi-St-Jean actuelle rue Lobau derriĂšre lâhĂŽtel de ville. Ancien mĂ©galithe,prĂ©historique probablement-tels quâils Ă©taient nombreux alors dans le paysage urbain et qui se survivent encore dans les noms des rues de âla pierre levĂ©eâ , âdes Trois-bornesâ, en borne de circulation ou chasse-roue devant lâhĂŽtel dâune notable parisienne, ce âpet au diable- ainsi baptisĂ© de maniĂšre satirique par les riverains fut au centre dâune joyeuse course-poursuite entre Ă©tudiants de lâUniversitĂ© et gens de justice en 1453 tels quâen tĂ©moignent les registres du Parlement criminel. En effet, en 1451 cette pierre fut enlevĂ©e de devant lâHĂŽtel dâune noble dame que lâhistoire retient comme Ă©tant Mlle de BruyĂšres. Quâils aient Ă©tĂ© investis dâune force herculĂ©enne ou que lâivresse leur ai portĂ© secours, quelques Ă©tudiants en rupture de ban parmi lesquels François Villon, dĂ©placĂšrent la grosse borne et lâemportĂšrent jusquâau sommet de la montagne Sainte GeneviĂšve actuelle place du PanthĂ©on oĂč elle fut consacrĂ©e comme le bĂ©tyle de leurs paĂŻenne dissidence. Autour de ce menhir repĂȘchĂ© du tracĂ© urbain -profane-en voie de standardisation et auto-sacrĂ© divinitĂ© obscĂšne comme un pape de Carnaval, se retrouvaient nuitamment les cortĂšges Ă©chevelĂ©s dâescholiers et de bandits, de goliards, de coquillards qui Ă©ructaient au son des fifres chansons Ă boire et blasphĂšmes, comme un exorcisme au temps prĂ©sent qui court la gueuse dans lâoubli des anciens rites oĂč le mystĂšre copule avec le rire. Lâaffaire fit grand bruit dans la ville de Paris⊠Mlle de BruyĂšres, dont la borne avait Ă©tĂ© enlevĂ©e de devant son domaine fut courroucĂ©e et exigea que la voirie la dĂ©dommage de sa grande perte. Un arrĂȘt de justice fit ordre de saisir le gros caillou dĂ©placĂ© sur la colline et dâarrĂȘter les joyeux drilles qui poursuivaient de lui rendre un culte obscĂšne. Jean Bezon, lieutenant criminel fut chargĂ© dâaller saisir et rapporter la pierre il lâentreposa dans le Palais de justice âŠdâoĂč, elle disparut, mystĂšRIEUSEMENT une nouvelle fois. En ces annĂ©es 1451-1453, lâUniversitĂ© Ă©tait arrivĂ©e Ă un point de dĂ©sordre considĂ©rable. Les escholiers peuplaient la nuit urbaine de dĂ©routantes facĂ©ties. Un procĂšs de 1453 garde mĂ©moire du dĂ©tournement des enseignes quâils avaient coutume de perpĂ©trer, Ă la nuit tombĂ©e, renversant le sens dâorientation des honnĂȘtes gens le lendemain, Ă une Ă©poque oĂč les noms de rue nâexistaient pas et oĂč les enseignes des Ă©choppes servaient de seules balises Ă logique dĂ©sormais conquise par Google Maps. Ars Combinatoria le mariage des Enseignes et le sexe occulte de la langue. Ars Combinatoria le sens occulte de la magie tel que lâarpentĂšrent Ă la fin du Moyen-Ăge savants, kabbalistes et alchimistes. DerriĂšre le grand Livre de la Nature oĂč les mĂ©tamorphoses permanentes du vivant nous laissent deviner une intelligence secrĂšte qui en apparence nous Ă©chappe, il existerait un chemin occulte quâempruntent ceux qui savent celui dâune ascension subtile vers la cause de toutes les causes, que les mages recombinent au grĂ© des âsignaturesâ, ces indices labiles inscrits dans lâapparence de toutes choses et qui leur servent de balises dans lâĂąpre dĂ©sert initiatique dâune connaissance des grands mystĂšres. Art combinatoire des indices et des images qui recĂšlent des vertus occultes quâon sait venir des astres et dans la conjonction ou mise en branle desquelles on travaille Ă lâaveugle Ă retrouver la sente par laquelle les forces de lâesprit agissent sans obstacles. Liber de ascensu et descensu intellectus, Raymond Lulle, 1304 premiĂšre publication 1512 De Raymond Lulle Ă Giulio Camillo, de la combinatoire du jeu de Tarots Ă lâart magique de la mĂ©moire dĂ©veloppĂ© par Giordano Bruno la combinatoire des images qui agissent emprunte une histoire marginale, subversive. Les traitĂ©s qui en tĂ©moignent sont obscurs mĂ©taphores, Ă©nigmes et jeux de sens dessaisissent la lecture pour lâĂ©prouver. Le Jeu voie royale Le mystĂšre se fait heuristiqueâŠet dans lâexpĂ©rience offerte Ă tous, lâimagination et ses vertus magiques marie, comme en pĂ©riode de Carnaval dont Rabelais croquera le fruit le noble et le plus vil, lâĂ©rudit et le grossier, la connaissance avec le rire. Car il faut Ćuvrer au chemin de traverse et au dĂ©tour chacun est appelĂ©, Ă se faire lâartiste de son propre parcours. Le destin est un jeu de pistes. VoilĂ sans doute la clĂ© de lâapparente obscuritĂ© des textes hermĂ©tiques lĂ oĂč le savoir est reproductible et transmissible, la connaissance ne lâest pas il faut la vivre. Le mariage des Enseignes et la sexualitĂ© du sens initiation et paillardise âComme ce qui est en haut, ce qui est en basâ la loi des magies immĂ©moriales met sur la piste dâune correspondance subtile entre le macrocosme et la rĂ©alitĂ© humaine. Le Carnaval et tous les rites dâinversion qui durent les quelques jours jugĂ©s nĂ©fastes oĂč les saisons se mĂ©tamorphosent, redonnent le ton dâun branle-bas propitiatoire oĂč le monde est renversĂ© Ă dessein dâĂȘtre rĂ©investi des puissances oniriques collectives, qui au fond, on le sait, sont celles qui le maintiennent sur pied. Ă Paris, au mĂȘme moment que lâaffaire du Pet au Diable, les registres judiciaires surajoutent aux griefs qui pĂšsent sur les Ă©tudiants et mauvais garçons une pratique inattendue ceux-ci sont poursuivis pour avoir interverti nuitamment les enseignes des cabarets et des Ă©choppes dans plusieurs rues du centre de Paris. Au petit matin, les voisins se sont rĂ©veillĂ©s et vaquant Ă leurs affaires dans le pĂ©rimĂštre rĂ©duit de leur quartier, se sont perdusâŠâLâĂąne rougeâ quâils avaient coutume dâapercevoir derriĂšre lâangle de lâauberge sâĂ©tait mystĂ©rieusement transformĂ© en âcroissant dâorâ, on avait sagacement accolĂ© Ă la fameuse âtruie qui fileâ des Halles de Paris lâenseigne dâun ours patibulaire pour lui servir de mari et les Noces mystiques se poursuivaient mĂȘme en plein jour, aux vues de tous. Lâorientation dans la ville avait Ă©tĂ© entiĂšrement modifiĂ©e Ă la faveur de lâhumour nocturne de quelques malandrins. Pis, on sâĂ©tait amusĂ© Ă marier les figures peintes dont on sâĂ©tait Ă©mu de la solitude âaux quatre fils Aymonâ dont lâenseigne alors signait divers commerces on avait trouvĂ© subtil dâadjoindre quelque pucelle de St Georges qui languissait sur la façade dâune auberge isolĂ©e. Paris devint un bordel. Les Noces des figures laissaient entendre une partouze sĂ©mantique que ne dĂ©crieraient pas les gens qui comprennent la gaye science des alchimistes et des truands, cette âlangue des oiseauxâ, volatile, qui dĂ©fie lâesclavage de la grammaire et poursuit, Ă lâimage du Mercure des alchimistes, sa cavale perpĂ©tuelle. Voici peut-ĂȘtre un des legs fondamental de Villon la ville, comme la langue rĂ©clame son tribut de jouissance et de rapine que seuls quelques enfants âĂ©veillĂ©sâ savent lui offrir et lui lâordre reviendra,on croira que tout sâest remis sur pied. Pourtant, au pied de la lettre, les enfants perdus se sont planquĂ©s. Et ils savent encore sur quel pied danser. Rendre Ă©vidente lâincertitude du monde Les poĂšmes postĂ©rieurs de Villon feront montre dâune quĂȘte effrĂ©nĂ©e de lâambiguĂŻtĂ© sur tous les plans. Antiphrases, contradictions, dĂ©tournement de mĂ©taphores la langue travaille Ă se dĂ©faire de lâintĂ©rieur, Ă lâimage de la ville de Paris que le poĂšte traverse en canaille avec certaines figures de style de ses amis. Villon est un enfant de Paris il connaĂźt si bien sa ville quâil la vit Ă lâintĂ©rieur. Comme une psychogĂ©ographie au sens plein, pis comme lâart mnĂ©motechnique kabbalistique quâĂ la mĂȘme Ă©poque et tandis quâil est si souvent en prison, les mages exercent dans leurs cabinets tenus secrets. âRien ne mâest sĂ»r que la chose incertaineâ, âje meurs de soif auprĂšs de la fontaineâle poĂšte ne cesse de poser une chose et son contraire. Son Testament et ses poĂ©sies volantes construisent une vision du monde brouillĂ©e, sans dessus-dessous un chaos philosophique oĂč lâon devine cette Ă©tape de lâOeuvre au Noir alchimique oĂč il est question de dĂ©vĂȘtir la matiĂšre mĂȘme, âla mariĂ©e mise Ă nu par ses cĂ©libatairesâ pour retrouver lâĂ©tincelle de cette chose insĂ©cable, cette pierre philosophale qui survit occulte dans les charniers les plus obscurs, oĂč peu sont prĂȘts Ă se risquer et que la Mort laisse apercevoir Ă la fin et dans un sursaut. Ă la plume comme Ă la ville, tout devient dĂ©dale et prĂ©texte au vertige. Câest un dĂ©filĂ© de Carnaval oĂč la force de Villon se fait initiation Ă la maniĂšre du cristalâŠqui restitue diffĂ©remment la lumiĂšre selon la facette qui la reçoit. Lâhumour, enjeu du pouvoir Villon restitue la rĂ©alitĂ© dans le miroitement de sa complexitĂ©. Si ses vers nous parlent toujours malgrĂ© les 600 ans qui nous sĂ©parent et en dĂ©pit des jeux de mots que seuls quelques uns de ses amis pouvaient entendre, câest quâil y a scellĂ©, intacte,sous couvert dâune pathĂ©tique sarabande, la voie royale dâune transmission de lâĂ©motion, repĂȘchĂ©e vivante, encore et malgrĂ© les siĂšcles. Sa poĂ©sie est un talisman, au sens strict les vertus actives sây prĂ©servent Ă la faveur dâun chassĂ©-croisĂ© sans fin des assauts rĂ©pĂ©tĂ©s des manipulateurs, des fossoyeurs. Depuis la fin du Moyen-Ăge et bientĂŽt Ă lâorĂ©e des guerres de religion, le tout sous la main mise subliminale de lâĂglise, le contrĂŽle de lâĂ©motion devient lâenjeu crucial du pouvoir et prĂ©pare le laboratoire moderne du sortilĂšge rationnel. Les Ćuvres dâart serviront au premier chef lâentreprise lâart ne tardera pas Ă faire Ă©cole, isolant de maniĂšre stratĂ©gique dans le lieu clos de lâimpasse spĂ©culative, les sentiers percĂ©s Ă jour par quelques poĂštes brigands et sans aveux. âLa science de lâesthĂ©tiqueâ, le Patrimoine et la culture, se feront les CerbĂšres dâun Enfer oĂč les crĂ©ations de lâesprit humain se verront dĂ©vitalisĂ©es pour gentiment venir ponctuer les mises en scĂšne fatiguĂ©es des lieux de culte que plus personne ne devine dans les musĂ©es. Câest le rĂšgne du littĂ©ral, du commentaire, des forfaits tout-inclus et des enquĂȘtes Ă algorithme. La pente raide du place nâest plus prĂ©vue au contre-sens, Ă lâomission ni Ă lâellipse. Lâensemble des structures de pouvoir, politiques, Ă©conomiques et culturelles, enracinent leurs actions dans un gouvernement de lâattention, une simplification des Ă©motions et le dĂ©tournement de leurs puissances Ă des fins platement rentables et consensuelles. La libertĂ© du poĂšte reste aujourdâhui plus que jamais survivante car subversive;les mages, les enfants et les illusionnistes savent de quoi il en retourneâŠeux qui par jeu, renversent le jeu⊠et allument lâexistence â
LaCour de cassation dans son arrĂȘt du 10 dĂ©cembre 2008, n°07-41.820, BC V n°245, aprĂšs avoir relevĂ© que les propos injurieux tenus par le salariĂ© concernaient sa supĂ©rieure hiĂ©rarchique et avaient Ă©tĂ© prononcĂ©s, la cour a pu en dĂ©duire que le fait litigieux se rattachait Ă la vie de lâentreprise et dire son licenciement fondĂ© sur une cause rĂ©elle et sĂ©rieuse.
DĂ©couvrez les palmiers rustiques Vous serez sans doute Ă©tonnĂ© de constater que bon nombre de palmiers rĂ©sistent aux tempĂ©ratures nĂ©gatives. Leur silhouette Ă©lancĂ©e, le graphisme des feuilles sont des critĂšres esthĂ©tiques apprĂ©ciĂ©s dans les jardins modernes, sans parler de la note exotique quâils apportent. Faites votre choix ! Buddleia lâarbre aux papillons Le buddleia est un arbuste Ă fleurs, ornemental mais pouvant ĂȘtre trĂšs envahissant chez certaines variĂ©tĂ©s. La plantation, lâentretien et la taille sont des gestes qui amĂ©lioreront la floraison. Vitex plantation et entretien de lâagneau chaste Le Vitex agnus-castus, Ă©galement connu sous le nom de gattilier ou encore dâagneau chaste, est un arbuste original grĂące Ă ses feuilles aromatiques, lĂ©gĂšrement poivrĂ©es. Le Vitex en rĂ©sumĂ© Nom latin Vitex agnus-castus Noms communs Gattilier, Agneau chaste, Gattilier commun, Arbre au poivre Famille VerbĂ©nacĂ©es Type Arbuste Port Arrondi Hauteur 3 m Largeur 3 m [âŠ] Musa basjoo le bananier japonais Contrairement Ă ce que lâon pourrait penser, le bananier japonais ou Musa basjoo ne produit pas de bananes. MalgrĂ© tout, il sâagit dâun bananier Ă la silhouette intĂ©ressante, gage dâoriginalitĂ© dans la crĂ©ation dâun jardin. Cistes, fleurs de papier La famille des CistacĂ©es regroupe une sĂ©rie dâarbustes et dâarbrisseaux au feuillage persistant typiquement mĂ©diterranĂ©ens. ChĂȘne le roi des forĂȘts Le chĂȘne est lâun des arbres les plus courants et les plus majestueux lorsquâil atteint de grandes tailles. Lâarbre Ă papillons le paradis des insectes pollinisateurs Lâarbre Ă papillons en rĂ©sumĂ© Noms latins Buddleja, Buddleia Noms communs Arbre Ă papillons, arbre aux papillons, lilas dâĂ©tĂ© Famille ScrophulariacĂ©es Type Arbuste Port Arrondi Hauteur 3 Ă 5 m en selon lâespĂšce Largeur 2 Ă 3 m Exposition EnsoleillĂ©e Ă miâombre Sol Tout type RusticitĂ© Excellente Croissance Rapide â Feuillage Caduc â Floraison PrintaniĂšre Ă estivale Lâarbre [âŠ] Rhapis excelsa le palmier bambou Que vous lâinstalliez dans votre maison, votre jardin ou dans une vĂ©randa, le Rhapis excelsa ou palmier bambou trouvera forcĂ©ment sa place chez vous. CĂ©anothes, variations en bleu Le bleu au jardin nâest pas frĂ©quent. Câest lâun des mĂ©rites du cĂ©anothe que dâen proposer une belle palette, du bleu pĂąle Ă lâindigo.
HM5To. ofm1k6ldq2.pages.dev/75ofm1k6ldq2.pages.dev/255ofm1k6ldq2.pages.dev/307ofm1k6ldq2.pages.dev/219ofm1k6ldq2.pages.dev/285ofm1k6ldq2.pages.dev/123ofm1k6ldq2.pages.dev/156ofm1k6ldq2.pages.dev/35ofm1k6ldq2.pages.dev/241
aux cabinets malgré l humour et la vertu